Le basilic fait partie des plantes qui peuvent aussi repousser à partir d’une plante mère… Le principe est un peu différent du céleri. Il suffit d’une tige que l’on met dans de l’eau une quinzaine de jours et quand les racines apparaissent…. on la replante en terre.
Le basilic commun ou romain, appelé aussi herbe royale ou pistou est une plante aromatique et condimentaire très utilisée dans la cuisine italienne, mais aussi dans les plats taïwanais,thaïlandais, vietnamien, cambodgien et laotien. Originaire d’Asie et connue depuis au moins 5000 ans, la plante est arrivée en Europe via l’Egypte et a été acclimatée dans le sud européen au début du premier millénaire. Il en existe plusieurs variétés (leurs feuilles varient du vert clair au pourpre). Si la plante en Asie est vivace, elle est, chez nous, annuelle.
Le basilic pousse en pleine terre dans les pays méditerranéens car il aime la chaleur et le soleil. Chez nous, même si le basilic préfère l’extérieur, mieux vaut la cultiver en pot et à l’intérieur (pour les semis) tant que les températures sont basses (au dessous de 10 degrés) et la rentrer dès que les températures baissent (le basilic ne survit pas au gel) pour en profiter plus longtemps ! S’il fait plus de 25 degrés, pensez à l’arroser légèrement mais ne laisser votre pot dans une coupelle d’eau, les racines n’y survivraient pas (si les feuilles sont fanées par manque d’eau, un arrosage abondant et du soleil peuvent le revigorer). Les feuilles jaunies, par contre, indiquent qu’il est trop arrosé…
Ce sont les feuilles qui sont utilisées en cuisine. Crues. Cuites ou séchées, elles n’ont pas d’arôme.
Pour pouvoir cueillir des feuilles longtemps, consommez plutôt les nouvelles pousses et vous éviterez ainsi que les fleurs ne se forment. Plus on a de tiges, plus on aura donc de feuilles de basilic… Gardez juste une tige, en fin de saison, qui montera en fleurs pour pouvoir avoir des graines pour l’année prochaine (les tiges qui fleurissent ne produisent plus de feuilles).
En cuisine, pour bien profiter de l’arôme des feuilles, il faut les passer au pillon… Vous réussirez ainsi la vraie recette fraiche (de mon amie Genzianella) du pesto ligure (une région au nord-ouest de l’Italie) ou genovese en « pilonnant » le basilic. Ajouter quelques pignons de pin, une petite gousse d’ail et un peu de parmesan ou de pécorino. Mélanger le tout et ajouter l’huile d’olive. Consommer aussitôt.
Pour en profiter pendant la saison où le basilic n’est plus et pour manger des pâtes au pesto tout l’hiver, procéder comme ci-dessus (pilonnez le basilic et hachez la gousse d’ail, ajouter les pignons de pin et le fromage et mettre la pâte obtenue au congélateur en petites doses faites à l’aide de cuillères à soupe sans y ajouter l’huile). Vous sortirez le moment venu le nombre de doses requises, le diluerez dans un peu d’eau bouillante de cuisson des pâtes et ajouterez alors l’huile d’olive. C’est délicieux et ca réchauffe !!!!
Ex jardiner avec les enfants
COMMENTAIRE
Ai tempi di antichi Greci e Romani, il basilico non era tenuto in buona considerazione: simbolo diabolico, di sfortuna e di odio, Plinio il Vecchio attribuiva alla pianta capacità di generare stati di torpore e pazzia[33] e secondo Crisippo poteva essere dannoso per lo stomaco e per il fegato. Gli antichi romani lo associarono alla figura mitologica del basilisco, creatura a forma di serpente in grado di uccidere con lo sguardo: il basilico sarebbe servito come antidoto al suo veleno.[34] Una leggenda africana sostiene, inoltre, che il basilico protegge contro gli scorpioni.
Nel medioevo, la pianta era utilizzata per guarire le ferite, come quelle di archibugio, ed era un ingrediente dell’acqua vulneraria, usata un tempo per applicazioni esterne. Alcuni naturalisti, come Nicholas Culpeper, lo ritenevano invece velenoso. Una leggenda medievale lo cita come capace di attirare gli scorpioni, qualora le foglie fossero messe sotto un vaso. Nelle miniature di alcuni manoscritti, il basilico è il simbolo dell’odio e di Satana. Il folklore ebraico suggerisce invece che dia forza durante il digiuno.[34][35]
Lisabetta da Messina, eroina del Decamerone di Boccaccio, seppellì la testa del suo amante in un vaso di basilico.[36]
Est ce que le pesto et le pistou, c’est la même chose ?
Oui, le pistou c’est du provencal et c’est la même chose que le pesto en italien. On pense pesto et basilic mais les Italiens font toutes sortes de pesto… aux poivrons, aux feves….
J’ai déjà mangé ces pâtes en Italie, c’est tellement bon que l’on en reprend. Le problème c’est que c’est l’entrée et quand le plat de résistance arrive on a la sensation que les autres convives vous regardent avec un léger sourire.
Si la culture du basilic exige de la chaleur, cette année il va pousser sans problème sous le ciel breton.
C’est sympa de cultiver ses plantes aromatiques en pots quand on ne possède pas de jardin.
On pense toujouts que le basilic ne sert que dans les pates mais son huile essenteille est très efficace contre les insectes et notamment les moustiques…. Peut être même qu’en en mangeant beaucoup, du basilic, on en diffuse naturellement de l’huile essentiellle et on fait fuire les moustiques… par sa propre odeur !
Je le fais régulièrement … et ça fonctionne très bien !
C’est vrai que quand on a du basilic dans son jardin, les moustiques fuient la terrasse ! Et les pâtes au pistou (ou pesto), on ne s’en lasse pas !!! J’ai sur mon blog une recette de lasagnes végétariennes aux courgettes et pistou, je vous la recommande !!!
Le pistou ressemble au pesto, mais il ne contient pas de fromage, contrairement au pesto qui est fait avec du parmesan ou du pecorino 🙂
Merci pour ces précisions. J’ignorais effectivement que le pistou etait sans fromage. Merci de votre visite !
vous pouvez aromatiser une fiole d’huile d’olive avec des feuilles qui devront être bien recouvertes sinon elles moisissent et filtrer au bout de quelques seamines. Garder bien votre huile dans une bouteille opaque pour qu’elle ne rancisse pas. Ajoutez deux trois grains de sel pour mieux conserver votre huile !