Est- ce que vous faites, de temps en temps, les devoirs, avec vos enfants ?
Est-ce que vous faites réciter votre progéniture ?
Est ce que parfois quelques souvenirs d’il y a bien longtemps vous reviennent ?
Est-ce que, certaines fois, vous découvrez même des choses que vous n’avez jamais sues ?
Moi, je réponds oui à toutes ces questions et, une double affirmation, à la dernière, puisque j’ai appris quelque chose qui peut faire partie de ces petits gestes qui font du bien à la planète quand on prépare à manger, activité récurrente s’il en est !
On en est tous là, à essayer de faire de notre mieux pour ne pas accélérer ce changement climatique qui nous menace. Et par des petits gestes, on peut améliorer notre bialn perso !
On mange tous les jours et tous les jours on fait cuire nos aliments. On peut, comme je l’ai déjà proposé dans mon post sur la marmite norvégienne, économiser beaucoup d’énergie en préparant nos légumes secs, via ce système de cuisson. Ca marche très bien et c’est très économique. Mais c’est du sel que je vais vous parler.
J’ai souvent lu, dans des livres de cuisine, que, quand on fait chauffer de l’eau, on ne doit la saler que quand elle bout, qu’elle a donc atteint les 100 degrés. Sauf que je n’ai jamais lu d’explication à cette manière de procédé. C’est, en faisant réciter ma fille et en découvrant son cours de physique que j’ai compris ! J’ai appris que l’eau douce bouillait à 100 degrés alors que l’eau salée bout à partir de 105 degrés.
5 degrés de différence, c’est pas grand-chose, me direz-vous. Oui et non ! 5 degrés multipliés par deux repas par jour (même un, on ne fait pas bouillir de l’eau à chaque repas) et ce, pendant toute une année, ce ne sont plus quelques minutes mais des heures d’énergie que l’on économisera. Et, si on le multiplie par le nombre de repas qui sont préparés tous les jours par tous les Terriens, on fait de colossales économies d’énergie ! A vos salières !